Ce format continue de bien me plaire pour l’instant, donc je continue sur ma lancée, j’espère que ça vous plaît aussi 😉
23 janvier: j’ai terminé mes lectures en cours dans le week-end et je commence ma semaine en ouvrant un nouveau livre 🙂
Résumé de l’éditeur: Au château de Gormenghast règne une famille farfelue: les d’Enfer. Lord Tombal lit toute la journée. Son épouse Gertrude ne vit que pour ses chats et ses oiseaux. Leur fille Fuchsia est d’une nature sauvage et rêveuse. Autour d’eux s’agite une société hétéroclite dont le quotidien est figé dans l’exécution de rites ancestraux. La naissance d’un fils, Titus, va rompre la monotonie du château.
Peu de choses à en dire pour le moment, si ce n’est qu’on est dans le bizarre ^^ Il est encore trop tôt pour déterminer si c’est du bizarre positif ou juste du bizarre après une cinquantaine de pages.
Je profite aussi d’un court moment d’oisiveté pour lire une nouvelle: Dagon de H.P. Lovecraft.
Résumé: La nouvelle retranscrit le testament d’un officier de la marine marchande rongé par le souvenir d’une étrange aventure vécue sur une île inconnue des cartes, pendant la Première Guerre mondiale. Témoin de l’apparition d’une gigantesque créature ichtyoïde s’agrippant à un monolithe, vestige mystérieux d’une antique civilisation sous-marine, le protagoniste a sombré dans la folie.
Je n’ai pas vraiment été convaincue par cette nouvelle: la mise en place est trop longue et finalement quand on en arrive au vif du sujet, il ne se passe pas grand chose. Le narrateur est témoin de quelque chose et c’est tout, ça suffit à le rendre fou et drogué. Les descriptions étaient sympas, même si assez grandiloquentes, l’ambiance posée est angoissante à souhait et c’est bien écrit, mais ça manquait de développement et d’enjeux pour mon goût.
24-26 janvier: je poursuis ma lecture en cours lentement, mais sûrement. Je ne sais toujours pas trop quoi en dire pour le moment.
Comme j’ai lu une nouvelle lundi, je décide de lire à nouveau une nouvelle par jour cette semaine et je ressors le recueil de Silverberg dont je vous parlais en début de mois.
Résumé de l’éditeur: Ce deuxième des quatre volumes rassemblant, dans l’ordre de leur composition, les nouvelles les plus significatives d’une œuvre qui en comporte près d’un millier – choisies et présentées par Robert Silverberg, qui a écrit une introduction spécifique pour chacune d’entre elles-, couvre la période comprise entre 1971 et 1981. Une décennie particulièrement tourmentée pour le monde et pour l’auteur lui-même, qui avertit d’entrée de jeu (x) : » il arrive bien des choses bizarres et déstabilisantes aux personnages des récits réunis ici, et le lecteur qui s’y aventurera risque de se trouver emporté dans un voyage peu ordinaire, comme le fut leur auteur dans les années où elles furent écrites.
Pour ne pas surcharger ce billet, j’en posterai un autre d’ici quelques jours pour vous parler de toutes les nouvelles que j’aurais lues: Le Dibbouk de Mazel Tov IV de Robert Silverberg; Le Monstre dans la Caverne, Polaris et Le Bateau blanc de H.P. Lovecraft.
Et parce que je suis toujours d’humeur à me disperser, j’entame un autre livre passé par une copine:
Résumé de l’éditeur: Sur les traces d’un tueur terrifiant et calculateur.
Pendant plus de dix ans, un mystérieux prédateur a terrorisé la Californie. Après une série de plus de cinquante agressions sexuelles et dix meurtres, il a disparu sans laisser de trace, échappant ainsi aux nombreuses forces de police mobilisées pour l’arrêter. Son mode opératoire était d’une efficacité redoutable. Après avoir choisi une victime, il pénétrait chez elle en son absence et étudiait ses habitudes, puis revenait pour l’attaquer dans son sommeil, l’aveuglant avec une lampe torche avant de la violer.
Aucun des survivants n’a pu dresser un portrait-robot précis, mais tous s’accordent sur une chose, la voix de leur agresseur : un murmure guttural sec et menaçant. Trente ans après les faits, Michelle McNamara décide de reprendre l’affaire, déterminée à découvrir l’identité de celui qu’elle a surnommé le Golden State Killer. Elle se replonge dans le dossier, retournant sur les lieux des crimes, interrogeant les victimes et passant ses nuits à éplucher les rapports de police.
La mort brutale de Michelle met malheureusement un terme à son enquête et à la rédaction de l’ouvrage qu’elle prévoyait de consacrer au tueur. Les enquêteurs qui travaillaient avec elle sur l’affaire ont repris le flambeau et achevé Et je disparaîtrai dans la nuit, rendant ainsi hommage à son travail acharné.
La préface m’a laissée dubitative (je ne l’ai pas lue en entier), mais une fois entrée dans le vif du sujet, ça devient rapidement très prenant.
27-29 janvier: week-eeeeend! C’est rare, mais pour une fois je n’ai absolument rien de prévu si ce n’est me reposer, bouquiner et regarder des vidéos TouTube 🙂
Je poursuis ma lecture de Titus d’Enfer et je suis toujours un peu perplexe… Après 200 pages environ, on en est toujours à peu près au même point. On découvre le contexte et les personnages, mais il ne se passe pas grand chose.
La plume est belle et l’ambiance est bizarre à souhait, mais si on continue dans cette veine, sans action et sans avancée dans l’intrigue, j’ai du mal à voir ce qui pourrait me donner envie de poursuivre ma lecture…
Si vous l’avez lu, je suis curieuse d’avoir votre avis dessus 😉
Heureusement mon autre lecture était un peu plus facile à dévorer: j’ai tourné la dernière page de Et je disparaîtrai dans la nuit. On est ici dans le true crime et le cold case à la fois et le moins qu’on puisse dire, c’est que ça fait froid dans le dos! Et ce d’autant plus que les circonstances ont fait que je me trouvais exceptionnellement dans un contexte similaire à celui des premières victimes pendant le week-end, je sursautais au moindre bruit ^^
J’ai quelque réserve sur la forme: le livre ayant été publié après la mort de l’autrice, l’éditeur a dû reconstituer certains passages à partir de ses notes. A chaque fois que c’était le cas, le texte s’interrompt pour une note expliquant ce point. C’est assez pénible, il aurait été plus judicieux de le signaler une fois et de ne plus y revenir, surtout que c’est fait pour la 3e partie du livre.
En dehors de ça, c’était extrêmement prenant et très intéressant: non seulement on suit les éléments de l’enquête policière, mais on a également quelques témoignages des victimes ayant survécu, ainsi que les recherches faites par l’autrice pour divers journaux/ce livre et celles menées par des amateurs décidés à résoudre l’affaire. Si vous aimez le genre, ce livre vous plaira 😉
Deux nouvelles lues pendant le week-end: La Nuit et La Main d’Ecorché de Guy de Maupassant.
C’est tout pour la semaine dernière! Et pour vous, c’était comment? Vous avez fait de belles lectures?
Comme d’habitude, si vous avez lu ou comptez lire un des livres ou une des nouvelles citées ici, votre avis m’intéresse, vous savez quoi faire dans les commentaires 😉
Bonne semaine et bonnes lectures 😉