Journal de lecture du 3 au 9 juin

Déjà lundi et donc le moment de vous parler de mes lectures de la semaine dernière 🙂 ç’a été une semaine un peu en demi-teinte. J’ai beaucoup souffert de mes allergies depuis quelques jours et les prises d’antihistaminiques à haute dose ont fortement nui à mes capacités de concentration et un peu à mon moral aussi. Je mets aussi mon manque d’enthousiasme général pour mes dernières lectures sur le compte de celles, excellentes, faites la semaine précédente: difficile de passer derrière et de bien s’en tirer ^^

Lundi-mardi: je termine le roman avec lequel je vous laissais la semaine dernière.

By the rivers of Babylon (Augustown). De Kei Miller. Editions Zulma. 292 pages. 2016 pour la vo. 2017 pour cette édition.

Résumé: Augustown, quartier pauvre de Kingston. En cet après-midi d’avril 1982, Kaia rentre de l’école. Ma Taffy l’attend, assise sur sa véranda. La grand-mère n’y voit plus mais elle reconnaît entre toutes l’odeur entêtante, envahissante, de la calamité qui se prépare. Car aujourd’hui, à l’école, M. Saint-Josephs a commis l’irréparable : il a coupé les dreadlocks de Kaia – sacrilège chez les rastafari. Et voilà Ma Taffy qui tremble, elle que pourtant rien n’ébranle, pas même le chef du gang Angola ni les descentes des Babylones, toutes sirènes hurlantes.
On dirait bien qu’à Augustown, Jamaïque, le jour de l’autoclapse – catastrophe aux promesses d’apocalypse – est une nouvelle fois en train d’advenir. Alors, pour gagner du temps sur la menace qui gronde, Ma Taffy raconte à Kaia comment elle a assisté, petite fille au milieu d’une foule immense, à la véritable ascension d’Alexander Bedward, le Prêcheur volant…

Le résumé ne donne pas une bonne idée du contenu, même s’il est correct dans la liste des éléments importants. On est ici dans un récit un peu décousu qui cumule plusieurs récits, qui semblent indépendants à première vue, mais qui sont en fait tous liés entre eux. La fin m’a laissée un peu perplexe, mais j’ai l’impression que c’est parce que j’ai dû passer à côté de quelque chose sans savoir vraiment ce que ça peut être.

Le plus grand intérêt de cette lecture pour moi a été l’immersion dans le quotidien des personnages et la découverte, à travers eux et leurs expériences de vie, de cette petite portion de la Jamaïque, de son Histoire et de sa culture.

Une bonne lecture, bien que j’y ai trouvé quelque chose de tout à fait différent de ce que je pensais y trouver.


Mardi: je lis 2 BD et un très court petit catalogue.

Couleur de peau, miel, tome 2. De Jung. Editions Quadrant (Astrolabe). 144 pages. 2008.

Résumé du tome 1: Jun Jung-sik errait dans les rues de Séoul quand un policier l’a pris par la main pour l’emmener au Holt, un orphelinat américain. Il avait alors 5 ans. Quelques photos, un rapport d’orphelinat… Ses souvenirs tiennent à un fil. Mais les questions le taraudent.
2007 : Jung décide de remuer les souvenirs ou les fantasmes de sa vie, en tout cas d’en finir avec une certaine période teintée de l’incertitude qui ronge. Il se raconte dans ce récit terriblement intime : sa survie en Corée, sa nouvelle famille belge. Une adoption pas toujours très réussie, contrairement à d’autres gamins.
Mais cette histoire est la sienne : il a grandi avec, s’est construit avec, jours après jours, vaille que vaille. Les fous rires, les drames, le quotidien, les bêtises de gosses et les questions sans réponses… Sans aucune réponse ?

J’ai peu de choses à dire sur cette BD que je n’ai pas déjà dit à propos du tome 1, ce qui n’était déjà pas grand chose ^^ On est ici dans un témoignage, celui d’un adolescent, puis jeune homme dans ce 2e opus, celui d’une personne adoptée dans un pays lointain, avec ce que ça suppose d’interrogations, de blessures et de mal-être. C’est vraiment une lecture intéressante même si ces sujets ne vous touchent pas de près. Le seul bémol que j’ai à apporter (et il est léger), c’est que certains détails intimes partagés par l’auteur m’ont semblé un peu gênants à lire.

Une lecture à faire.


La trahison du réel : Unica Zürn, portrait d’une schizophrénie. De Céline Wagner. Editions La boîte à bulles. 112 pages. 2019.

Résumé: Dans La Trahison du réel, Céline Wagner retrace le destin d’Unica Zürn, l’une des icônes du surréalisme, restée longtemps dans l’ombre de son compagnon, l’artiste Hans Bellmer, qui n’a pourtant eu de cesse de faire (re)connaître son génie… Après une enfance détruite par un viol et l’absence d’un père adoré, sa passion pour les artistes peuple ses livres. Installée à Paris, elle côtoie les créateurs les plus talentueux de l’après-guerre, notamment les surréalistes, et nourrit sa fascination pour les visages. Unica peint, écrit mais vend peu de dessins, gère mal sa carrière, et enchaîne les crises délirantes dans lesquelles Hans revêt bien souvent le visage de ses tourments. Son oeuvre composée d’anagrammes, de dessin, et d’écrits sont le reflet de ses angoisses schizophrènes.

Il y a quelques semaines maintenant, je découvrais une partie de l’oeuvre d’Unica Zürn grâce à la lecture de ce superbe catalogue. J’ai eu envie d’en savoir plus et j’ai choisi cette BD biographique pour ça.

Je dois avouer que j’ai été un peu déçue sur le fond, parce que je n’ai pas eu l’impression d’en apprendre beaucoup plus que ce que disait ma précédente lecture. J’ai aussi été un peu mal à l’aise que l’autrice représente des personnes ayant réellement existé nues et dans des scènes très intimes, surtout que ces personnes n’étaient plus là pour donner leur permission d’être représentées de cette façon…

La forme m’a cependant séduite: les dessins racontant la vie d’Unica Zürn, même s’ils ne montrent pas forcément des faits avérés, m’ont semblé bien convenir aux errances psychologiques de l’artiste, tout comme le jeu des couleurs. Le plus gros point fort étant la réinterprétation de ses oeuvres qui s’insère parfaitement dans le récit.

Une lecture plutôt intéressante graphiquement, mais qui m’a laissée un peu sur ma faim pour le reste. A lire si Unica Zürn suscite votre curiosité.


Estampes, 2014-2018. D’Etel Adnan. Editions Galerie Lelong & co. 117 pages. 2019.

Résumé: Présentation d’estampes récentes de l’artiste et poétesse américano-libanaise née à Beyrouth en 1925.

Je poursuis ma découverte de femmes artistes qui m’étaient inconnues jusqu’ici et le catalogue de mon réseau de bibliothèques est une vraie mine d’or! Malheureusement ce très petit livre n’a pas comblé ma soif de découverte: il y a une seule page de texte expliquant pourquoi l’artiste a entrepris la création des quelques oeuvres présentées ici. Du coup j’ai passé un court moment à regarder une poignée d’estampes. Elles étaient plaisantes à regarder, mais comme je n’avais pas d’autres informations, je ne sais pas si elles sont représentatives de l’oeuvre d’Etel Adnan ou si elles ont été inspirées par quelque chose en particulier. Je n’ai rien appris non plus sur l’artiste, ses influences ou de quelle façon son travail peut être replacé dans le contexte plus vaste de l’art libanais.

Un flop, du coup.


Mercredi: je lis 3 BD de plus et j’attaque la lecture d’un court roman qui sera finalement un abandon. Je ne vous parlerai pas des BD ici, parce que je compte terminer la série dans les semaines à venir et que ça me semble plus logique de vous parler de l’ensemble en un seul billet. Pour teaser un peu, il s’agissait des 3 premiers tomes de la série Gorn de Tiburce Ogier.

Femme du ciel et des tempêtes. De Wilfried N’Sondé. Editions Actes sud. 272 pages. 2021.

Résumé: Un chaman de Sibérie trouve sous le permafrost la sépulture d’une reine datant de plus de dix mille ans. Stupéfaction : le corps momifié par les glaces a la peau noire. Décidé à utiliser sa découverte pour protéger un territoire menacé par l’exploitation gazière, le chaman contacte un ami scientifique français dans l’espoir qu’il mobilisera les écologistes du monde entier. Celui-ci monte une discrète expédition avec une docteure germano-japonaise et un ethnologue congolais. Deux mafieux qui tiennent à leurs projets industriels les attendent de pied ferme…
On retrouve l’enthousiasme de Wilfried N’Sondé dans un roman d’aventures haletant qui parle d’écologie, d’harmonie avec le vivant, de partage entre les peuples et de communication entre mondes visible et invisible.

Sur le papier, ce roman avait tout pour me plaire, le résumé m’avait vraiment tapé dans l’oeil. Malheureusement, j’ai assez vite déchanté et abandonné ma lecture après les 120 premières pages.

ça démarrait pourtant bien, avec une découverte fascinante, un beau plaidoyer pour la protection de la nature et une soif de connaissance pour notre Histoire la plus ancienne. Mais assez rapidement l’auteur se focalise sur des personnages plus antipathiques et/ou médiocres les uns que les autres, avec leurs mesquineries, leurs erreurs de parcours et leurs motivations plus ou moins douteuses, il m’a été impossible d’éprouver la moindre empathie pour eux. J’ai commencé à lâcher prise quand un des personnages féminins (sur les 2 présents, l’autre étant le jouet sexuel d’un criminel) dit à un des personnages masculins qu’elle aurait dû porter plainte pour harcèlement sexuel et en fait un moyen de pression pour obtenir certains avantages pour une future collaboration. Non seulement je ne peux pas et ne veux pas suivre un personnage féminin de cet acabit (écrit par un homme…), mais en plus il y avait plus que du harcèlement, il y avait aussi une agression sexuelle caractérisée.

D’autre part, une fois la découverte initiale faite, je m’attendais à ce qu’on enchaîne immédiatement sur la partie « roman d’aventures haletant » promise par le résumé de l’éditeur. Je me suis rapidement lassée d’attendre qu’on y arrive enfin.

Grosse déception, j’ai essayé de m’accrocher, mais trop d’éléments ne me plaisaient pas, voire me hérissaient, et j’ai préféré abandonner.


Mercredi-samedi: je me plonge dans un roman qui me faisait envie depuis sa sortie et qui était enfin disponible à la bibliothèque.

Créatures du petit Pays (Beasts of A Little Land). De Juhea Kim. Editions Les presses de la cité. 512 pages. 2021 pour la vo. 2023 pour cette édition.

Résumé: Dans le Séoul des Années folles, une ville énergique et rebelle qui frémit sous le joug de l’occupation japonaise, jeunes courtisanes, aristocrates, soldats et idéalistes se désirent et se déchirent. Jade la gisaeng aime Hanchol, l’étudiant déclassé. Mais c’est Jungho, le chef de bande orphelin, fils d’un chasseur de tigres, qui se révèle son allié le plus fidèle dans un monde en pleine mutation. La grande Histoire et les monstres tapis dans le coeur des hommes leur imposeront à tous un destin parsemé d’écueils… Avec cette fresque historique d’une grande finesse, Juhea Kim nous raconte, sur près d’un demi-siècle, l’espoir et les tourments d’un peuple qui lutte pour son indépendance.

Malheureusement, ce roman n’a pas été non plus à la hauteur de mes attentes.

J’ai apprécié le contexte historique de la Corée occupée par le Japon, mais j’ai trouvé que c’était dans l’ensemble assez survolé. L’autrice se concentre sur une galerie de personnages que j’ai trouvés peu attachants, ce que je mets sur le compte d’un manque d’approfondissement qui pour moi a été le plus gros défaut du livre dans sa globalité.

On suit les personnages de leur enfance à leur vieillesse et finalement je n’ai pas eu l’impression de ressentir ce qu’ils ressentaient autrement qu’en surface. Et pourtant, il y avait matière à creuser, entre les jeunes filles n’ayant pas d’autre choix que la prostitution, les orphelins à la rue, les résistants à l’occupant, etc. L’un des personnages mentionnés comme un des protagonistes principal par le résumé n’intervient qu’après 150 pages, est finalement assez peu présent, et je n’ai vu aucune alchimie entre lui et l’héroïne, alors qu’ils disent s’aimer.

C’est pareil pour l’intrigue. Il se passe des choses, mais pourtant rien ne m’a touchée, j’ai eu l’impression de simplement survoler les évènements, rien ne m’a semblé approfondi. La plume est accessible et assez fluide, mais finalement plutôt quelconque. Là aussi, ça manquait de profondeur.

En bref, une lecture décevante, qui m’a semblé trop longue vu le peu d’approfondissement de tous les éléments du récit, et que j’aurais probablement abandonnée si je n’avais pas déjà mis de côté un autre livre juste avant.


Lundi-dimanche: je lis en pointillé un livre numérique, que j’avais déjà commencé le week-end dernier et que j’avais oublié de mentionner dans mon dernier journal de lecture.

Plus heureuse que moi, tu meurs. De Joo Youngha. Editions Matin calme. 222 pages. 2022.

Résumé: Savez-vous quel est le meilleur moyen de gagner une bataille pour le bonheur ? Rendre les autres malheureux.
Trois femmes dans des appartements luxueux, trois comptes sur les réseaux sociaux, une seule bataille : à qui sera la plus heureuse.
Yu-jin, Jeong-ah et Na-young, trois voisines aux caractères très différents mènent une lutte indirecte sur les réseaux, jusqu’au jour où Yu-jin est assassinée.

Ce roman faisait partie de ma liste 2024 de Je lis un roman conseillé par… Celui-ci m’avait été recommandé par Audrey, du blog Light and Smell, merci Audrey 😉

J’ai peiné à avancer dans ma lecture en grande partie parce que j’ai du mal à lire en numérique. Non seulement parce que lire sur écran ne m’est pas très agréable et me fatigue assez rapidement, mais aussi parce que je n’ai pas le livre sous les yeux dans sa version physique et que donc, à moins d’être complètement happée par ma lecture, j’ai du mal à me rappeler que je suis en train de le lire ^^

L’intrigue et les sujets abordés sont intéressants et me semblent tout à fait d’actualité, en particulier vu le contexte coréen, le pays étant ultra connecté. On n’est plus dans le thriller que dans le roman policier, l’enquête étant menée par une journaliste sur son temps libre et pas par la police. Le crime est assez sanglant, mais ça reste supportable, au cas où vous vous posiez la question. Je n’ai pas vu venir la résolution, ni le dernier twist final, ce qui est un bon point. Un bémol pour les personnages, que j’ai trouvés peu attachants et pas très développés (le roman est vraiment court, pas le temps de s’attarder).

Ceci dit, l’écriture, que j’ai trouvé au mieux simpliste et au pire médiocre, est ce qui m’a posé problème dans ce roman. Je ne sais pas quelle part attribuer dans ce qui m’a gênée à la plume réelle de l’autrice et quelle part revient à la traduction. J’apprends le coréen depuis plusieurs années et je suis bien placée pour savoir à quel point le coréen est différent du français et probablement compliqué à traduire en respectant l’intention originale des auteurs, donc je ne trancherai pas sur la question. Mais cet aspect a rendu ma lecture souvent pénible ou fastidieuse, le style me faisait vraiment mal aux yeux.

Une lecture qui me laisse un peu mitigée, donc, même en tenant compte du décalage culturel, mais si vous n’êtes pas dérangé-e-s par les plumes pas travaillées, c’est une histoire qui reste intéressante et globalement bien ficelée.


Ma lecture en cours à la fin du week-end:

Un atlas de l’impossible (An atlas of impossible longing). D’Anuradha Roy. Editions Actes sud, collection Lettres indiennes. 318 pages. 2011.

Résumé: De la colonisation à l’Indépendance, le parcours et le destin d’une famille bengalie se confondent avec l’histoire de l’Inde au XXe siècle.

En tenant compte de ce que j’ai lu ce matin, j’arrive presque à la moitié du roman et, après une prise en main assez difficile (le premier chapitre m’a paru très fastidieux), je suis maintenant bien plongée dans ma lecture. On en reparlera dans un prochain billet.


C’est tout pour la semaine dernière 🙂 J’ai beaucoup lu, mais finalement j’ai fait peu de lectures qui m’ont vraiment plu et j’ai globalement été frustrée par les manques ressentis au niveau des plumes que j’ai découvertes. Je retiens surtout By the Rivers of Babylon, mes autres lectures auront finalement été plutôt anecdotiques.

Comme d’habitude, si vous avez lu ou comptez lire un des livres présentés dans ce billet, si un des sujets abordés vous inspire des réflexions ou si vous voulez juste papoter, vous savez quoi faire dans les commentaires 😉

Et pour vous, c’était comment la semaine dernière? Vous avez fait de bonnes lectures? Des titres à me conseiller? 😉

Je profite de ce billet pour vous signaler que ce blog sera en pause pour quelques temps, au moins pour les 2 semaines à venir. On se retrouve bientôt, d’ici là j’essaierai de poster quelques photos de mes lectures sur mon compte Instagram, mais je ne promets pas d’être régulière ^^

A très vite!

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14 commentaires pour Journal de lecture du 3 au 9 juin

  1. Steven dit :

    Bonne semaine et surtout bonne pause à toi et à très vite !

    Aimé par 1 personne

  2. Carfax dit :

    bonjour, comment vas tu? sympa tes lectures, bonne pause, bon lundi et à bientôt!

    Aimé par 1 personne

  3. Courage pour tes allergies !
    Dommage pour Femme du ciel et des tempêtes car le résumé aurait pu me tenter mais les personnages avec lesquels on a du mal gâchent vite le plaisir de lire…
    Et je suis contente que tu aies lu Plus heureuse que moi, tu meurs et que tu aies apprécié les thèmes abordés à défaut de la plume de l’autrice 🙂
    Bonne semaine 🙂

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    • ducotedechezcyan dit :

      Merci, c’est vraiment une saison difficile avec tout ce vent ^^

      Je ne regrette pas d’avoir tenté Femme du ciel et des tempêtes, au moins j’ai pu me faire une idée de la plume de l’auteur et je tenterai peut-être un autre de ses livres.

      Merci à toi de m’avoir conseillé Plus heureuse que moi, tu meurs, je suis toujours contente de découvrir un roman coréen, même si je n’en ressors pas toujours enthousiaste 😉

      Bonne semaine à toi aussi!

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  4. tampopo24 dit :

    Effectivement que de lectures malgré tes allergies, bravo ! Mais je comprends ta frustration de ne pas avoir eu un texte à la hauteur.
    Je suis déçue pour le roman coréen qui aurait vraiment pu m’intéresser s’il n’avait pas été survolé car c’est un contexte que j’aimerais creuser. Tant pis.
    J’espère que cette nouvelle semaine sera meilleure que tous les points pour toi ☺️

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    • ducotedechezcyan dit :

      Je passe plus de temps à l’intérieur à cause des allergies, ça laisse de la place pour lire beaucoup ^^ J’espère me rattraper avec mes lectures à venir!

      Le roman coréen reste intéressant pour certains aspects, tu ne risques pas grand chose à le tenter malgré tout. Peut-être que tu l’apprécierais plus que moi si tu n’as pas les mêmes attentes 😉

      Merci 😉 Je te souhaite une bonne semaine aussi!

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  5. Allys dit :

    Encore une semaine bien remplie. Je te souhaite de bien te reposer pendant ta pause 🙂

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