Cinq Heures vingt-cinq. D’Agatha Christie. Editions du Masque. 252 pages. 1931.
Au cours d’une séance de spiritisme, un meurtre est annoncé, créant un embarras horrifié parmi les participants, qui croient à une blague de mauvais goût. Mais la victime désignée par les esprits est retrouvée assassinée.
Ici, pas de Miss Marple, pas d’Hercule Poirot, mais le perspicace inspecteur Narracott et des détectives amateurs déterminés à découvrir qui est coupable. ça change un peu des petites cellules grises et des aiguilles à tricoter et c’est un vrai plaisir de suivre l’enquête.
Une fois encore, Agatha Christie donne un air d’huis-clos à son histoire et nous offre une galerie de personnages hauts en couleurs. On pourrait croire que ça finirait par devenir lassant, mais ça fonctionne toujours aussi bien, même après avoir lu une soixantaine de livres de l’auteure 🙂
La résolution du mystère est satisfaisante et l’explication m’a surprise, ce qui est un bon point. J’avais bien soupçonné le/la coupable, mais comme je ne comprenais pas le « comment? », j’avais abandonné mon idée, si bien que je me suis (encore) fait avoir en beauté ^^
Une lecture très sympathique qui fait travailler les neurones 🙂
ah pour avoir vu le film, je connaissais le comment, mais du coup pas le coupable, vu que c’est différent dans le film… :p
contente qu’il t’ai plu 😉
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Drôle d’idée de changer de coupable pour le film ^^
Merci à toi pour le troc 😉
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en fait, il y avait une histoire totalement différente dans le film, Trevelyan était joué par Timothy Dalton et le mobile était différent aussi, en fait à part le mode opératoire tout était changé quasiment 😉 il y avait même Miss Marple
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Ah oui, carrément! ^^
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J’ai pas lu ! Chic !
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Bonne lecture alors 😉
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