A l’Ouest rien de nouveau. De Erich Maria Remarque. Editions Le livre de poche. 243 pages. 1929.
A 18 ans, Paul et ses camarades de classe, poussés par leur professeur, s’engagent dans l’armée pour aller combattre sur le front de l’ouest.
Ce livre décrit l’horreur de la Première Guerre mondiale. L’essentiel de l’histoire se déroule dans les tranchées et peu de détails nous sont épargnés. La peur, la faim, la vermine, le sang, les combats, la mort, les terribles blessures, l’absence d’espoir sont quelques-uns des thèmes abordés, dans leur version la plus crue.
La narration se fait à la 1e personne, on est constamment aux côtés du personnage principal, on voit ce qu’il voit, on ressent ses émotions, on voit ses frères d’armes se faire décimer. Je ne vous cacherai pas que c’est une lecture vraiment difficile à faire, surtout sachant qu’un siècle plus tard, nous n’avons toujours pas été capables d’éradiquer la guerre et que les horreurs décrites ici existent toujours… Nous avons même été capables d’inventer des moyens encore plus performants pour continuer à nous entretuer…
Un témoignage poignant sur les atrocités et l’absurdité de la guerre, à lire absolument.
Je l’ai lu. Et je l’ai oublié. Je l’ai surement lu beaucoup trop jeune et mon inconscient a rangé ça au fin fond de mon esprit.
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Peut-être que tu as été traumatisée par ta lecture et que tu as tout fait pour l’oublier ^^
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Bien possible
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