Masshiro Ni (In perfect white)

Seppenko Monogatari tome 1: Masshiro Ni (In perfect white). De Léa Silhol. Editions Nitchevo Factory. 196 pages. 2019.

Les six nouvelles d’inspiration japonisante qui composent ce recueil racontent des épisodes de l’histoire de la famille Isôkage, marquée par ses rencontres avec des créatures vivant aux frontières de  notre monde au fil des siècles.

J’avoue que je commence à manquer de vocabulaire pour traduire ici ma fascination et mon engouement pour les écrits de Léa Silhol ^^ Je ne peux que me répéter et souligner à nouveau l’originalité de ses univers, la diversité des inspirations et des thèmes abordés, la poésie de sa plume.

Je n’ai qu’un reproche à faire à ce livre: seules deux des nouvelles étaient inédites pour moi, les autres ayant déjà été publiées dans d’autres recueils. Malgré tout, je ne considère pas ça comme un aspect réellement négatif, puisqu’elles sont ici remises dans le contexte d’un récit plus vaste, construit sur de nombreuses années, et qui prend toute son ampleur.

J’ai été encore une fois particulièrement sensible aux références artistiques et à la réflexion sur la vie propre qu’acquiert une oeuvre après avoir été achevée par son auteur-ice.

Que puis-je ajouter sinon que je vous conseille à nouveau très vivement de lire Léa Silhol? Excellente lecture, j’ai hâte de me plonger dans le tome 2! 🙂

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5 commentaires pour Masshiro Ni (In perfect white)

  1. Recueil d’inspiration nippone et belle plume, ça ne peut que me tenter !

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